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Odes [R​é​Edition]

by Han Sino

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1.
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Fraîcheur de rosée (Textes, musique et interprétation de Han Sino) La Beauté ne côtoie l'élégance Que lorsque la douleur s'est évanouit... Celle qui sans préavis nous lance, Et pénètre une âme sans faire un bruit ! La clarté des astres m'a ébloui Car ce matin la pluie est tombée Ton visage épanoui, ma bouche bée Valent bien un à présent l'éclat d'un oubli (Refrain) Fraîcheur de rosée... Est ce donc la Grâce qui tombe du Ciel Fraîcheur de rosée Insondables, sont les voies de l'Eternel... La douceur des ondes je ne l'ai apprise... Elle m'a surpris au cœur des soucis trépassés Les gouttes de vie se sont enlacées, Avec le feu sanguin des veines malapprises Tu ris de moi, je me suis noyé En cherchant les perles de coquillages inouïs Le mistral pourra t il ouvrir ton ouïe Lorsque notre amitié en sera toute broyée ? (Refrain) Fraîcheur de rosée... Est ce donc la Grâce qui tombe du Ciel Fraîcheur de rosée Insondables, sont les voies de l'Eternel...
3.
4.
Sensuelle 04:39
Sensuelle (Textes, musique et interprétation de Han Sino) Sensuelle... sensuelle... sensuelle... tu es, sensuelle... (Xx) Sensuelle tu es... du bout de tes doigts... à ton cou, innocent... avide de baisers... De ta chevelure de laine à la trace veloutée de tes pas sur le sol de la vie... Sensuelle, tu es sensuelle ma jolie. Sensuelle... sensuelle... sensuelle... tu es, sensuelle... (Xx) Sensuelle, Elle est sensuelle... Elle me donne des ailes... Sensuelle comme l'essence de ce qui est fruité... Sensuelle comme le goût du velours d'une pêche alcoolisée... Sensuelle comme les amandes que j'ai croquées... Les étoiles voguent sur les flots de ta peau ondulée... Je nage à perte de vue vers l'inconnu, vers l'envie... Tu es comme la mangue des terres enfouies, qui se révèle douce et sucrée, brisée par le nacre de tes ongles délicats... Verrai je le sacre de la perle inouïe ? Le Jour, la Nuit, le Jade sont ocres devant ta beauté ! Sensuelle...
5.
Colombe 04:37
Colombe (Musique, Textes, et interprétation de Han Sino) J'ai rêvé que j'attrapais une colombe Elle ne s'est que peu débattue S'approchant de moi, diffusant des ondes... Heureux, conquis, je me suis tût ! Libre saisie par mes mains alertes, Par mes doigts frêles à la vertu mesurée... Calme, sauvage, et déjà prête... A conquérir le ciel azuré !
6.
7.
Les Fleurs 04:05
Les Fleurs (Textes, musique et interprétation de Han Sino) Les Fleurs ont-elles un parfum ? Dont on se souvient…. Les Fleurs ont-elles un parfum ? Les Fleurs ont-elles un parfum ? Dont on se souvient…. Les Fleurs ont-elles un parfum ? Les Fleurs ont-elles un parfum ? Faut qu’je me mette bien… L’ami. Y a pas de souci qui ne prenne fin… Je médis, Sur les troubles du destin… Médite, Sur les douceurs que vous m’eûtes dites, Jadis… Mes dires vous laisseraient ils sur votre faim ? Je mange des pétales… Les larmes sont le toast de mon chagrin. Les Fleurs ont-elles un parfum ? Y a pas de souci qui ne prenne fin… Les Fleurs ont-elles un parfum ? Dont on se souvient…. Les Fleurs ont-elles un parfum ? Etc…
8.
La Belle et le Black (Textes, musique et interprétation de Han Sino) D'or ou de pourpre était ta chevelure Longue, courte ou divinement tressée Avec ma mélancolie, mon cœur blessé Malgré mon air abstrait, avais je donc fier allure ? Pour m'ouvrir à toi et calmement t'adresser Les justes paroles auxquelles m'invitait ton sourire L'eau et le feu devront ils s'adoucir Pour que nous ayons la grâce de nous embrasser... Le Seigneur t'a offert une si sublime douceur Qu'elle jaillit de ton visage en une lumière effrontée Et me voilà désormais seul, chagriné et hanté Par l'angoisse dure d'avoir attristé une âme sœur J'ai su que tu étais celle dont je voulais prendre soin Et l'Amour, il me semble, donne des ailes Si le notre, comme je le crois, est éternel Peut être remonte il, après tout, aussi loin Qu'un jardin d'une cour royale du XVII Ou qu'une douce quête courtoise du moyen âge En lesquels je t'aurais présenté mes hommages Si seulement j'avais su te dire je t'aime (Refrain) - musique- Nous sommes nous aimés sous diverses identités A travers les siècles, les contrées et les lieux Allant à deux à la recherche du mieux Pour nous croiser seulement nous éviter ? Tu m'as aimé, dulcinée, quand je n'étais rien En voyant en moi ce que nul n'avait vu Malgré cette fin que tant voulaient avoir prévue Et cela sans que je ne sois ni germain, ni aryen Connaissais tu donc le secret, le signe... De celui qui était le vilain petit canard A la démarche lourde, aux grands panards Avant de devenir le plus immaculé des cygnes ? J'étais affreux, binoclard, gratifié d'un afro Et nous fallait il un drame digne de Shakespeare Pour que je souffre, titube et que j'expire... Dans les couloirs parisiens d'un sombre métro ? Tortueuses sont les voies des amours impossibles Bien qu'elles reflètent des splendeurs d'éternité Les jaloux furent ils atteint de dangereuse débilité Pour m'avoir voulu fruit étrange et désiré pour cible ? (Refrain ) La beauté s'est perdue dans le miroir de nos yeux La folie n'est pas loin de l'envie... Faut il en vouloir à la vie, de défendre (à) la passion d'étreindre et d'enflammer les cieux ? La Belle et le Black... Etais je donc victime de haine tel le digne Othello Enivré par ta peau d'une blancheur étrangement Nègre Par tes cheveux ondulés, pour en gardé le goût aigre D'avoir vu brisé un bonheur insaisissable tel l'eau ? Etait ce donc ton amour qui me fit renaitre Tel le beau phénix de l'ancienne Egypte Illuminé par l'émeraude et les pépites Par ce qui est par delà l'être et le non-être ? Laisse moi t'envelopper de la lumière de mon âme Pour qu'à l'instar des féminines héroïnes romantiques Douces tel ton prénom issu d la Rome Antique Sous l'effleurement de nos lèvres tu te pâmes... Je te veux obscure dans un château gothique Drapée de noirs cachemires dentelés Pour te dire mon désir et même te l’épeler De manière subtile, sublime ou argotique Laisses moi donc être ton Négus d'Ethiopie Pour t'offrir les merveilles de secrètes cités célestes Te dévoiler les fins mystères que garde l'Est Tel l'Amour infini et bien encore pis ! (Refrain ) La beauté s'est perdue dans le miroir de nos yeux La folie n'est pas loin de l'envie... Faut il en vouloir à la vie, de défendre (à) la passion d'étreindre et d'enflammer les cieux ? La Belle et le Black... Et j'oublierai le regard des médisants bout-en-train Leur offrant simplement la joie d'être leur Laquais Attends moi, s'il te plaît, apprêtée sur le quai Que nous puissions prendre ensemble un divin train Mais si tu veux une autre fin à cette histoire Digne des plus beaux mythes, et des plus beaux contes Où l'Amour se moque allègrement de la honte Où les coups de théâtre ne peuvent se prévoir Alors j'irai t'habiller d'aurores boréales Usant pour cela des forces mystérieuses de l'Afrique Si tu veux bien d'un jeune homme qui n'a que peu de fric la réalité se fera pour nous idéale Et les Anges joueront pour nous de leurs célestes lyres Une musique raffinée tels les paysages de Malaisie Car- vois tu, les vers et la douce poésie Donnent droit aux plus magnifiques et divins des délires ! Je t'attendrais vêtu d'un smoking noir Portant une rose... sur le côté Impatient de contempler ta beauté Et de savourer le mariage entre l'ébène et l'ivoire !
9.
improvisation.
10.
Métisse 04:15
Métisse (Textes, musique et interprétation de Han Sino) Les courbes beiges ne semblent exquises (comme Saba et le Yémen) Qu'après l'exil loin des Lunes de la banquise froide... (tu rêves...) Guidant les corps athlètes désirés vers la noyade Par les chants sibyllins qui le sang attise. La douce cruauté de la subtile immaculée (T'as quelque chose à dire?) Fait se craqueler les sculptures ébènes (Tombent les masques...) La brute racine a t elle tant de peine A abreuver la fleur et ses feuilles acidulées ? (de sang mêlé) (refrain) A trop chercher ses origines, on se brûle la tête... Roi sans couronne d'une terre sans nom ! A trop chercher ses racines on sort les mitraillettes... Fils qui étonne, Métisse ! Fou parmi les « Sages » ! Le martyr est anonyme, son nom est oubli... (peux tu oublier?) Les fleurs de sang fleurissent d'un cœur déchiré, (ah bon?!) D'avoir à choisir une tribu trublionne, égarée... Sans qu'un sol habile puisse être son dernier lit Est ce lucide de penser qu'on a pas de « pot » De croire que les défenses sont toujours faites d'ivoire ? D'être aveuglé de tristesse, de ne plus rien y voir ? As tu déjà vu le feu blanchir la peau ? (cela s'est déjà vu!) (refrain) A trop chercher ses origines, on se brûle la tête... Roi sans couronne d'une terre sans nom ! A trop chercher ses racines on sort les mitraillettes... Fils qui étonne, Métisse ! Fou parmi les « Sages » !
11.
La Fureur de vivre (Hommage à Franck Olivier Gauthier) (Textes, musique et interprétation de Han Sino) La fureur de vivre était dans ton sang Le poing levé, le cœur incandescent, T’avais la paix dans la peau De tes ancêtres t’aimais le drapeau Dieu, le Seigneur, jusqu’à Lui t’a élevé Qui aurait cru qu’elle était venue ton heure ? T’es parti comme le vent… Les oiseaux s’envolent, mais reviennent toujours un jour Les yeux sont clos, mais y a des pleurs… pour exprimer la douleur De la chair qui se déchire d’amour Cousin, tu t’es fais la belle, la malle Sur ta pierre tombale fleurissent les roses des martyrs rebelles Enfant béni, enfant terrible… La feuille blanche de larmes d’encre je crible Où es tu maintenant ? Loin de nous, loin des tiens… (Refrain) T’es là haut maintenant, Franco T’es là haut maintenant… Est-ce que ta vie est belle ? T’es là haut maintenant, Franco T’es là haut maintenant… auprès du Très Haut. Mon frère, je crois que tu vs faire danser les anges au Paradis Enivré du parfum des colombes qui câlinent à tire d’ailes La fleur de mes pensées silencieuses j’te dédie Ton âme est sauve, la main du Seigneur est près d’elle Combien d’amis, de familles, de parents se sont réunis, unis Autour du feu vivant de ta mémoire Sous le ciel ivoire de l’espoir de retrouvailles prochaines… Tu t’étais libéré de tes chaines T’avais saisi l’illusion de l’ennemi Merci pour ce que tu m’as appris Le temps est passé, j’étais trop loin de toi Quelques pétales sur le sol expriment mon émoi Le chapelet de la dignité entre les mains, je prie Je pense à toi mon frère… (Refrain) T’es là haut maintenant, Franco T’es là haut maintenant… Est-ce que ta vie est belle ? T’es là haut maintenant, Franco T’es là haut maintenant… auprès du Très Haut.
12.
Attendre 05:18
13.
Ode n°1 03:36
Ode n°1 (Textes, musique et interprétation de Han Sino) Une caresse ne peut suffire... Lorsque l'élan de la Vertu embrase l'adresse ! Celle qui se dresse face aux Géants de l'amertume, dans cette Guerre où les Héros dans le vaste oubli vont resplendir ! J'ai rêvé de la tendre volupté de tes courbes... élancées. De m’enivrer du vin douloureux de tes lèvres exquises ! Mais la Fièvre m'a pris, et le goût du Combat elle attise... S'abreuvant des raisons qui se perdent dans les infinis de l'Origine insensée ! Ai je combattu pour une caresse ou pour une place au cœur des Dunes ? Ai je combattu pour une détresse qui à l'Espoir sans fin me damne ? C'est une Ode ! Je te le dis... C'est une Ode ! Une Ode... Qui a vu le fer frémir devant l'Eclose qui ne voulait plus mourir ? Qui l'a vu ?
14.
Ode n°2 03:54
15.
16.
J’ai pas le Fonk (Textes, musique et interprétation de Han Sino) J’ai pas l’Fonk Faut pas m’en vouloir J’persiste, insiste…. Miss J’ai bon espoir…. J’suis déjà saoul ! De quoi donc ? Des larmes évanescentes de ton corps… Mains et jambes qui fendent l’air valent de l’or. J’ai pas l’Fonk, j’peux pas résister de danser comme un automate Que tu sois ronde, fine ou bien même plate…. Devant toi j’ai le sang bouillant de toutes les couleurs ! J’ai pas l’Fonk Baby ! (xX) Sur le « dancefleur » (refrain) Faut pas qu’on m’en veuille…. Pour une histoire d’orgueil… Quand j’te vois danser, j’me retiens de n’pas te donner la fessée J’supporte plus…. tes mouvements chaloupés me mettent sans dessus dessous ! Tu laisses apparaitre tes dessous, et moi je gigote dans le vacarme Avec la ferveur, et la science du charme J’obtiendrai la vengeance funky d’un cœur blessé J’ai pas l’Fonk Babe ! (xX) Sur la piste glacée…. (refrain) Faut pas qu’on m’en veuille…. Pour une histoire d’orgueil…
17.
18.
Papillon 04:15
Papillon (Textes, musique et interprétation de Han Sino) La Nuit est étoilée Les douces ailes de l'envolé papillon naviguant loin de dunes... Rivalisent avec les battements de la Lune, De ses cils recourbés... Le Ciel a pour vertu d'avoir pitié De mon cœur succombant aux charmes... De l'encens abrupte de l'amitié Amoureuse où s'évanouissent les larmes.... (Refrain) Papillon blanc de Nuit Papillon d'Ethiopie, d'Arabie, du Yémen Où cela me mènera t il De te voir virevolter à travers les airs ?... Sans doute auprès d'une fleur, ou vers l'origine de la rosée.... Les Fleurs de ton jardin sont les plus jolies Et j'irai sans doute en goûter le Miel Le Parfum saveur caramel... M'assoupit... Les pétales pour lit, Me révèlent les essences de ton corps Les vallées que je n'aurais espérées Les couleurs et les formes admirées Valent épices, étoffes et or ! (Refrain) Papillon d'or de Nuit Papillon d'Ethiopie, d'Arabie, du Yémen Où cela me mènera t il De te voir virevolter à travers les airs ?... Sans doute auprès d'une fleur, ou vers l'origine de ta beauté.... Papillon d'or de Nuit, Papillon d'Ethiopie, d'Arabie, du Yémen, Papillon blanc de Nuit.... Papillon, Papillon....
19.
Combattant 04:23
Combattant (Textes, musique et interprétation de Han Sino) N’y a-t-il pas un combattant… pour mettre fin à tout ceci ? As-tu donc traversé le temps, mis les draps de lys comme habits ? L’hémoglobine toute drôle, les fleurs rouges a fait pousser… Un soupçon vif de khôl… Regarde froid l’ennemi s’échapper. (refrain) Combattant, je le suis, je le resterai… (x2) Combattant, je le suis… Mais le sang n’a-t-il pas suffisamment coulé ? L’obsession me poursuit, il ne me reste plus qu’à ranger mon épée… Sais tu pourquoi le Sabre se dégaine, lorsque la soie nocturne est tombée ? J’ai du feu dans mes veines ! Le Silence fend les palabres par milliers. (refrain) Combattant, je le suis, je le resterai… (x2)
20.
Dream [feat. Luzita] (Production musicale : Han Sino. Mélodie Chantée : Luzita. Textes : Han Sino et Luzita) 1er couplet (Han Sino) Mes rêves sont des jardins suspendus… Au dessus du désert et d’une brise facile Mes cils semblent en paix mais je suis perdu Dans le labyrinthe d’un oubli tactile La brume laisse t elle place à la clarté Lorsque la nuit m’apparait comme étant d’ivoire Sur le chemin s’évanouit l’espoir Avant d’être apparut il m’a déjà quitté Refrain (Luzita) Life is nothing but a dream I don't want to wake up with a start Lost in time and I'm wandering Will I be strong enough to draw the line 2e couplet (Han Sino/Luzita) La vie est elle un songe ? La vie est elle ? Des couloirs vides et capricieux tu longes Pour t’enfuir te faudra t il des ailes ? Did you ever feel truth could be stranger (than fiction) You're walking down the streets And the ground gives away You dream your life instead of living it In your uncouscious mind The world ain't nothing but a dream Refrain (Luzita) 3e couplet (Han Sino) Me réveillerai-je avant de partir Si les visions de nues bleutées sont mensonge ? Si Morphée me dit que la vie n’est qu’un songe Accoudé aux murs du temps, ne cessant de mentir ? Est-ce au cœur de la vie que je plonge Quand mes rêves semblent vifs et éveillés ? Tant de siècles passés à veiller Suffiront ils pour qu’un bruit d’réponse se rallonge ?
21.
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about

This album has already been released in September 2012. This new Edition get a better sound quality. Hope you will enjoy.
"Odes" is my second album as a spoken word artist.

credits

released March 23, 2013

Beatz, Synths and Sequencer,
Lyrics and vocal poetry,
musical creation and production*,
Sound effects and artwork by Han Sino.

* except for track 20, "Dream (feat. Luzita)":
Lyrics by Han Sino and Luzita,
musical creation and production by Han Sino,
vocal melody by Luzita.

Produced, composed and written by Han Sino (2012)

license

all rights reserved

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about

Han Sino Créteil, France

Han Sino is a musical creation and spoken word artist. His very personal musical style reflects his musical tastes, which are very opened and varied.
His texts are rather poetic and often ambiguous and metaphoric. He tends to direct his musical style to a dreamlike and colorful trip hop and nu jazz
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